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L’humain au cœur de l’intelligence artificielle

Homme au coeur de l'Intelligence Artificielle

 

Malgré ses importants avantages pour diverses activités humaines, l’intelligence artificielle (IA) est considérée aussi comme un nouvel ennemi de l’homme qu’elle est capable de détruire en une fraction de secondes. Quoique développée, l’IA ne pourra jamais entièrement remplacer l’homme dans certaines activités.

Un constat s’impose aujourd’hui ! Les avis sont unanimes ! L’intelligence artificielle (IA) nourrit bon nombre de fantasmes, mais elle peine à coller à la réalité parce que jusque-là, ce qui convainc les scientifiques n’est que l’apprentissage automatique. Or, celui-ci est une toute petite partie de ce qui composera l’IA de demain. 

Avec cette technologie, les systèmes d’apprentissage deviennent remarquables et permettent de réaliser des prouesses qu’on considérait comme irréalisables. A titre d’exemples, nous pouvons citer le fait de traduire automatiquement et correctement des langues, de reconnaître la parole, ou de lire des images médicales.

Dans d’autres domaines, l’apprentissage automatique a pris le pas sur l’humain. C’est le cas du jeu de go. S’il faut beaucoup d’intelligence à un humain pour y jouer, le logiciel AlphaGo Zero, réalisé par DeepMind, filiale de Google spécialisée dans l’IA, a démontré au grand public que nous pouvions augmenter notre niveau non pas en boostant notre intelligence mais en apprenant à partir de millions de parties contre soi-même. La mémoire, la déduction, l’anticipation, l’auto-apprentissage, le passage à l’acte, l’analyse de situations envisagées et vécues et la correction des erreurs commises pour améliorer son rendement ne relève pas de l’intelligence mais de la performance.

Aujourd’hui, il est indéniable qu’une simple machine permet de détecter l’origine d’une menace, l’ampleur qu’elle pourrait prendre, les failles d’un système complexe, repérer les points faibles et les mauvais réflexes des utilisateurs. Cette même machine est aussi capable de créer une attaque et de contourner les systèmes de défense mis en place pour la contrer.

Pour étoffer cette idée, décortiquons le rapport récemment publié par l’organisme Ifop. Selon le document, 64 % des Français se disent « inquiets » du développement de l’IA. Si leur principale préoccupation est l’impact qu’aura cette technologie sur leur vie professionnelle, les conséquences de la digitalisation de leur environnement dans la sphère personnelle les inquiètent aussi. 

Ceux interrogés par l’enquête estiment que plus la population dépendra des appareils connectés, plus ces derniers pourraient être utilisés à mauvais escient par des hackers, plus les utilisateurs seront vulnérables et exposés aux problèmes de cybersécurité.

Selon une autre étude réalisée par The Global State of Information Security de PwC, la grande majorité des Français redoute le piratage des technologies qui les entourent : 36 % craignent une interruption du fonctionnement des machines, une mauvaise utilisation de leurs données sensibles, une atteinte à la propriété physique, 32 % une menace pour la qualité des produits et 25 % un risque pour leurs vies.

Toutefois, l’IA est sans aucun doute un des leviers qui déterminera l’organisation de la société de demain. Autant dire qu’aucune communauté humaine ne pourra s’en passer si elle ne veut pas être en marge du monde.

 

Nous vous attendons nombreux à l’édition  100% Online du SIPEN 2021 pour venir découvrir comment l’humain se place au cœur de l’intelligence artificielle, les 23 et 24 Septembre. Cliquez ici pour plus d’informations.

 

L’intelligence artificielle (IA), une opportunité aux contours flous

Robot tenant dans sa main un cerveau

Devenue presque omniprésente dans toutes nos activités quotidiennes, l’intelligence artificielle (IA) ne présente pas pour autant moins d’inconvénients dans notre vécu. C’est comme qui dirait qu’elle se cache dans nos smartphones, nos ordinateurs et nos objets connectés pour nous simplifier la vie. A travers cette étude de l’Institut de Léonard de Vinci, nous revenons largement sur les avantages de l’intelligence artificielle.

 

Capacité de tri des données

L’intelligence artificielle est devenue incontournable dans la vie de l’homme, surtout avec les réseaux sociaux et le développement fulgurant du numérique. Ainsi, un flux d’actualités sur Facebook, un algorithme prédictif sur le prix des billets d’avion, des recommandations sur Netflix ou Amazon…illustrent la puissance de l’IA. Parce qu’elle peut absorber d’immenses quantités de données, l’IA permet d’organiser, de trier, et de donner du sens à ces informations selon des formules particulières qui sont défendues par les GAFAM comme des secrets industriels.

Cela fait que sans l’IA, il serait impossible d’arriver à un tel niveau de personnalisation sur tout type de système. Elle travaille continuellement pour se nourrir de données et affiner son fonctionnement. Plus elle engloutit des données, plus elle devient performante, et plus les algorithmes peuvent évoluer pour devenir efficaces.

L’IA, un facteur de communication

En interconnectant des programmes et machines, l’intelligence artificielle joue un rôle essentiel en matière de domotique et d’IoT par exemple. Considérée sous cet angle, elle est utilisée dans la communication machine-to-machine pour comprendre notre mode de travail et nos comportements, et tenter de s’y adapter. Elle sert également à la commande vocale et aux assistants virtuels.

Un outil médical

L’importance de l’IA dans le domaine médical n’est plus à démontrer. Dans ce secteur, elle permet de sauver des vies en servant à des fins d’analyse. Ainsi, elle est désormais capable de passer en revue et d’analyser avec précision des imageries médicales afin de détecter d’éventuelles tumeurs. Son taux de détection est proche de celui des médecins et surtout, elle travaille en continu, 24 heures par jour.

L’IA peut aussi servir pour optimiser et affiner les prévisions météorologiques, en particulier dans le cas d’événements climatiques intenses avec une forte intensité locale (tornade, tempête, inondation, etc.). En calculant des modèles de prédictions et en affinant son travail en continu, elle est une aide importante pour prendre les bonnes décisions au bon moment.

Enfin, l’intelligence artificielle peut aussi faciliter le travail de la police et des pompiers pour cartographier les interventions, identifier les zones à risques pour renforcer les patrouilles, et mieux gérer les parcours des véhicules d’urgence en temps réel selon la circulation, les conditions météo, etc.

L’intelligence artificielle digitalise notre écosystème

On utilise l’IA dans presque tous les domaines. L’agriculture devient connectée pour intervenir uniquement au bon moment afin de limiter l’utilisation de produits phytosanitaires, et récolter les céréales, les fruits ou les légumes au meilleur moment. Elle peut aussi, grâce à des capteurs implantés dans le sol, gérer l’irrigation de manière intelligente et autonome pour délivrer la juste quantité d’eau quand il le faut.

En ce qui concerne l’urbanisme, la Smart City se construit aussi grâce à l’intelligence artificielle. Cette dernière récupère de multiples données afin de connecter les bâtiments, les rues, les espaces publics, etc. Le résultat : une meilleure organisation basée sur la donnée, des économies d’énergie et un meilleur usage des budgets.

Dans le domaine des transports, l’IA est présente dans la voiture autonome. Cette dernière peut se passer plus ou moins temporairement d’un conducteur humain pour arriver à bon port. À terme, lorsque l’IA pilotera les voitures dans un cadre sécurisé, c’est l’assurance d’un trafic routier plus sûr et plus fluide.

Homme utilisant une tablette

 

 

S’agissant du monde des affaires, l’intelligence artificielle est utilisée pour automatiser la relation commerciale (lead scoring, automatisation…), le service support (chatbot, assistant virtuel…) et la gestion financière (envoi des factures, gestion automatique des impayés…).

 

 

L’IA à quel prix ?

Terme inventé dans les années cinquante par les chercheurs informaticiens John McCarty et Marvin Minsky, l’intelligence artificielle a, malgré tous ses avantages, des contours sombres.

C’est pourquoi, elle laisse présager des perspectives inouïes pour les entreprises qui la mettent au point et pour les consommateurs qui l’utilisent. Elle possède de nombreux inconvénients qui peuvent entraver son utilité et limiter son efficacité.

A cause de leur grande complexité, les appareils dotés d’intelligence artificielle sont chers à produire. Ce coût qui peut rapidement croître car, ces équipements requièrent également un entretien et une maintenance très onéreux.

Dans une étude publiée en 2018, Tata Consultancy Services et IDC a dévoilé que le budget moyen que les entreprises consacrent à des projets d’intelligence artificielle s’élevait à 576.000 euros.

Ainsi, 37% des sociétés interrogées ont par ailleurs annoncé qu’elles seraient prêtes à investir plus d’un million d’euros dans les années à venir.

Impossible d’améliorer l’intelligence artificielle

Elle est comme un cerveau bien rempli, mais dépourvu de neurones. Bien qu’il permette le stockage des données, un appareil intelligent ne parvient pas à s’adapter à son environnement ni à apprendre de ses erreurs.

Sans émotions, l’intelligence artificielle est incapable de modifier son comportement et de s’acclimater aux situations plus ou moins complexes.

Pour schématiser, elle fonctionne sur un mode binaire qui ne laisse place à aucun sentiment.

Un outil sans créativité

Le rôle premier de l’intelligence artificielle est d’assister son utilisateur dans son quotidien, en améliorant son confort et en lui faisant gagner du temps grâce à l’automatisation des tâches ou la commande vocale, par exemple.

En revanche, l’IA est incapable de prendre des décisions, d’imaginer ou de créer par elle-même.

L’intelligence artificielle favorise le chômage

Thématique récurrente des films de science-fiction, le remplacement des humains par des robots ou des machines obsède la pensée collective depuis toujours. Et c’est bien légitime. De nos jours, l’omniprésence de l’informatique et l’automatisation des systèmes restructurent profondément notre société et nous rendent de plus en plus dépendants.

L’une des préoccupations majeures liées à l’intelligence artificielle est la disparition de certains métiers qu’elle peut causer. Bien que sa mise en place crée de nouvelles opportunités d’emplois (en particulier lors de la phase de développement, avec le recrutement d’ingénieurs, notamment), l’IA génère aussi un fort taux de chômage.

Selon une étude du cabinet Gartner, six millions d’emplois pourraient même disparaître d’ici 2030 à cause d’elle ! Pour l’heure, rassurez-vous : l’intelligence artificielle n’a pas encore réussi à supplanter la conscience humaine. C’est pourquoi, la plupart des métiers actuels ont donc encore de beaux jours devant eux.

Nous vous attendons nombreux à l’édition  100% Online du SIPEN 2021 pour venir découvrir comment tirer parti de l’IA au profit de la croissance de votre entreprise ou de votre organisation les 23 et 24 Septembre. Cliquez ici pour plus d’informations.

SIPEN 2018 – Business Forum Sectoriel : venez présenter vos solutions aux entreprises, commerces et industries

Les entreprises Africaines évoluent dans des écosystèmes particuliers. Tout en répondant au mieux aux besoins de leurs clientèles, elles essaient d’intégrer les perpétuelles mises à jour, propres à leurs secteurs et de s’approprier les solutions qui donnent un souffle nouveau à leur stratégie.

Dans la recherche de solutions universelles pour répondre à leurs besoins technologiques, le travail peut se révéler facile. Par contre, trouver des solutions adaptées aux réalités de nos entreprises africaines est un autre challenge.

C’est dans cette optique que le SIPEN a mis en place, cette année, le Business Forum Sectoriel afin de mettre en avant les solutions des entreprises du secteur des TIC, réfléchies pour les secteurs du tourisme, de la microfinance, de l’industrie, des mines et du commerce.

Tourisme

Le poids du tourisme dans nos économies est très important, particulièrement au Sénégal où dernièrement les pouvoirs publics oeuvrent pour sa redynamisation. Des campagnes de publicité sont lancées et des affiches montrant les différents sites touristiques du pays sont retrouvées sur les grandes artères de la ville de même que le site web de l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique, qui est devenu plus accessible.

Au Sénégal, l’industrie touristique représente 6,3% du PIB. Aussi, la croissance du secteur touristique sénégalais devrait être de 5% par an sur les dix prochaines années d’après le rapport “Hospitality Report Senegal 2016” réalisé par Jumia Travel. Le tourisme d’affaire représente 57,20% des recettes de ce secteur et les loisirs 42,80%. Un secteur dynamique et qui pourrait l’être encore plus si les acteurs incluent dans leur stratégie le digital, qui leur permettrait de s’aligner aux normes internationales, mais aussi de satisfaire une plus forte demande.

Les Fintech en pleine expansion dans le secteur de  la microfinance

Les acteurs du secteur financier tentent le “nouveau” pour pouvoir faire face à la concurrence et se rapprocher de leur cible. De plus en plus nombreux à tester de nouvelles solutions, ils sont portés sur les solutions pouvant les aider à être plus réactifs ou plus disponibles pour leurs clients, ils souhaitent également démocratiser l’accès à l’information, dans un but éducatif.

Force est d’admettre que le secteur financier a perpétuellement besoin de nouvelles innovations technologiques pensées pour eux. Cependant, il existe, encore, de multiples freins au développement des nouveaux services financiers digitaux. L’absence d’éducation financière de la population est la plus importante, s’en suit l’utilisation des terminaux financiers digitaux. Le défi se situe dès lors sur l’appropriation par ces populations des solutions et outils que leur offrent les institutions financières.

Le renforcement des infrastructures numériques dans l’industrie et les mines

Les retombées financières générées par le secteur extractif sénégalais sont estimées à 116,8 milliards de francs CFA pour l’année 2016, révèle un rapport de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE). Aujourd’hui, ce secteur cherche à quitter l’approche traditionnelle et à embrasser les TIC dans une optique d’amélioration de leur logistique et de traçabilité pour un meilleur suivi des principales activités telles que les chantiers ou différents gisements en cours d’exploitation. De même, les différents acteurs de ce secteur veulent plus de coordination afin d’optimiser le travail de leurs équipes et une acquisition de données (chiffres, pourcentages et statistiques) à temps réels concernant leurs activités.

Faites du commerce à l’ère du numérique

Le commerce devient, d’année en année, plus dynamique surtout avec l’avènement de l’e-commerce. Service qui a permis de mieux développer le paiement mobile dans une Afrique très peu bancarisé. Rien qu’au sein de l’UEMOA, d’après Africa 24,  le taux de personnes bancarisés est estimé entre 7.4 et 8%. Un taux de bancarisation assez bas, auquel s’ajoute de nombreux défis que les différents acteurs de l’environnement du commerce Africain essaient de relever tels que : la protection des données, l’accès au marché pour les populations, la connaissance des normes internationales pour les entreprises désirant faire de l’export, etc. Ce sont là les nombreux défis, entre autres, que  les différents acteurs de l’environnement du commerce Africain essaient de relever

L’intérêt du Business Forum Sectoriel, organisé par le SIPEN, est de permettre aux différents acteurs de l’écosystème du numérique de tendre la main aux organisations sectorielles, dans leur processus de digitalisation. Process devenant de plus en plus incontournable pour tous les secteurs car, il s’agit aujourd’hui pour elles d’accélérer leur transformation digitale mais, aussi de  trouver des réponses à leurs défis organisationnels grâce au digital. Ce sera également l’occasion de valoriser les porteurs de projet/solutions.

Si vous avez des solutions taillées sur mesure pour ces différents secteurs, retrouvez-nous à l’hôtel King Fahd Palace de Dakar le mardi 13 février 2018 de 14h30 à 16h00.

A très bientôt !

 

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SIPEN 2018 | Venez assister à l’émergence des économies africaines

Ces 13 et 14 février 2018, se tiendra au King Fahd Palace la troisième édition du Salon International de l’Economie Numérique (SIPEN). Rendez-vous incontournable de l’écosystème numérique africain, le SIPEN est un événement qui offre un cadre de réflexion relatif à la transformation digitale de nos entreprises et à la définition d’un modèle de boost de nos économies africaines. Entre forums sectoriels et keynotes, le SIPEN est le décor idéal pour faciliter les échanges entre les acteurs de l’écosystème TIC, intervenants, professionnels de tous les secteurs qui aboutiront sur des partenariats.

 

Dans une logique d’amélioration continue, les organisateurs du SIPEN ont apporté des changements notables édition après édition. L’édition 2015 a réuni des experts sectoriels, des professionnels nationaux des TIC et a permis de partager les meilleures pratiques concernant l’économie numérique en tant que levier de développement.

L’édition 2017 a été l’occasion d’échanger autour de panels sur les difficultés et perspectives de l’écosystème du numérique. Quarante (40) exposants et plus de quatre milles (4 000) visiteurs ont pris part à cette édition.

Pour l’année 2018, le SIPEN se démarque en impliquant les autres secteurs d’activités notamment la microfinance, l’industrie, les mines, le commerce, le tourisme, et le secteur public; en recueillant leurs besoins, en leur proposant des solutions adaptées à travers les Business Forum sectoriel et le Business Reverse Pitch.

Un fort accent sera mis sur la création d’opportunités d’affaires pour les participants à cette 3ème édition.

 

Le SIPEN 2018 au service des autres secteurs

 

Cette année, le thème portera sur la Transformation digitale, socle de l’émergence des économies africaines.  Le salon comptera trente (30) intervenants, experts dans leur domaine et près de trois cents (300) décideurs venus d’horizons divers. Il est également prévu, dans le but de satisfaire tous les participants au salon, deux-cent cinquante (250)  rencontres B2B, dix (10) ateliers thématiques, six (6) conférences scientifiques, cinq (5) business forums sectoriels et un (1) business reverse pitch du secteur public.

 

Le mardi 13 février 2018, vous pourrez assister au Business Reverse Pitch du secteur public. Durant cette session, les différents intervenants, tous décideurs du secteur public, présenteront les besoins et projets pour lesquels ils souhaiteraient être accompagnés par les entreprises du secteur des TIC. Cet atelier sera un excellent moyen de nouer des partenariats directs avec les donneurs d’ordre du secteur public.

 

Le mercredi 14 février 2018 vous pourrez assister aux différents business forums sectoriels dans le domaine de la micro-finance, de l’industrie, des mines, du commerce, de la santé, de l’éducation et du tourisme. Les entreprises et professionnels des TIC viendront présenter des solutions déjà pensées pour ces différents secteurs et qui s’adapteront aux besoins du moment des entreprises du même secteur.

 

Pour participer et échanger avec des acteurs de l’écosystème du numérique et découvrir les nouvelles tendances et solutions pour vos entreprises, inscrivez-vous à la cette troisième édition du SIPEN en cliquant ici.

 

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